Ferdinand : Pourquoi t'as l'air triste ?
Marianne : Parce que tu me parles avec des mots et que moi je te regarde avec des sentiments.
Ferdinand : Avec toi, on ne peut pas avoir de conversation. T'as jamais d'idées, toujours des sentiments.
Marianne : C'est pas vrai. Il y a des idées dans les sentiments.
Ferdinand : Bon, on va essayer d'avoir une conversation sérieuse. Tu vas me dire ce que tu aimes, ce que tu as envie et la même chose pour moi. Alors vas-y, commence.
Marianne : Les fleurs, les animaux, le bleu du ciel, le bruit de la musique. Je sais pas moi, tout ! Et toi ?
Ferdinand : Euh... L'ambition, l'espoir, le mouvement des choses, les accidents. Euh, quoi encore ? J'sais pas moi. Enfin tout !
Marianne : Tu vois, j'avais raison il y a cinq ans. On se comprend jamais.
Marianne : Parce que tu me parles avec des mots et que moi je te regarde avec des sentiments.
Ferdinand : Avec toi, on ne peut pas avoir de conversation. T'as jamais d'idées, toujours des sentiments.
Marianne : C'est pas vrai. Il y a des idées dans les sentiments.
Ferdinand : Bon, on va essayer d'avoir une conversation sérieuse. Tu vas me dire ce que tu aimes, ce que tu as envie et la même chose pour moi. Alors vas-y, commence.
Marianne : Les fleurs, les animaux, le bleu du ciel, le bruit de la musique. Je sais pas moi, tout ! Et toi ?
Ferdinand : Euh... L'ambition, l'espoir, le mouvement des choses, les accidents. Euh, quoi encore ? J'sais pas moi. Enfin tout !
Marianne : Tu vois, j'avais raison il y a cinq ans. On se comprend jamais.
(à)